Carnet artistico-politique iconographique, chronique de mon incompréhension du monde, expérimentations nudistico-portraiturales collaboratives avec des gens sympas, essais photographiques, journal du silence et de la solitude à l’abri de la folie du web et de la médiocrité ambiante. Et des fois, je gueule, t’es prévenu.
Bernard Plossu : La pire chose que l’on puisse dire d’une photographie c’est qu’elle ressemble à une peinture.
En fait peut-être que le choix de l’écran ou du livre pour diffuser des œuvres artistiques est une question de génération ?
Attention, je n’ai pas parlé de faire ressembler la photo à une peinture, mais de donner les outils du peintre au photographe, pour mélanger les techniques et permettre des approches hybrides, comme le font Pierre et Gilles.
Je ne sais pas si c’est une question de génération, le livre est aussi sanctifié par des jeunes, à mon avis c’est une question de positionnement politique : comment on sélectionne son public, on construit sa carrière et fait rémunérer son travail.